Les CinéTribulations :

Un lien vers CINECRITIC

Une journée de mon journal sans post sur le cinéma ne serait pas digne de ce site.

Histoire de vous aiguiller un peu vers le cinéma, et comme après le bon repas arrosé que je viens de terminer, je n'ai pas les idées suffisamment claires pour vous trouver une anecdote, Rendez-Vous sur ce site spécial critiques:

CINECRITIC

 

A+

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1ère image du jour

Dernier jour d'écriture depuis Bordeaux. La journée a été magnifique. Plein soleil toute la journée. Une température estivale. Ma recherche d'emploi avance à vitesse grand V. Je vais peut-être trouver du boulot sur Bordeaux, toujours dans le cinéma en plus, mais éventuellement plus dans l'exploitation.
Mais je ne peux pas vous en dire plus pour le moment.
Je vous tiens au courant de toute manière...

A+
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PS: J'ai dit dernier jour d'écriture sur Bordeaux car demain matin, je descend sur Biarritz, suivant les vagues,...

J'ai acheté du vin

Toujours en vacances sur la région Bordelaise, j'en ai profité pour aller hier à SaintEmilion.
Vous ne le savez peut-être pas, mais mon petit dernier est né en Octobre 2000.

Pour mon précédent, né en 1990, j'ai acheté il y a quelques années une série de trois bouteilles d'un grand vin de Bordeaux destinées à être ouverte pour sa majorité. Et bien, hier, pour mon dernier, rebelote, mais avec un 1er grand cru classé de Saint Emilion. Le vin de ce milésime, ça tombe bien, est de "garde", il atteindra donc sa pleine maturité au moment des 18 ans de mon fils...

 

A+
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HAL dans "2001, l'Odyssée de l'Espace"

Lorsque Stanley Kubrick s'est attelé à 2001, l'Odyssée de l'Espace, IBM était l'Empereur incontesté du monde informatique.

Dans ces circonstances, comment appeler l'ordinateur central de la navette? Et pourquoi pas HAL?
Je dis ça parce que c'est effectivement le nom qui fut retenu.

IBM / HAL? Vous voyez la subtilité, j'en suis convaincu.

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Alice GUY ?

ça a du bon, les vacances!!!

Même avec un peu de vent, Arcachon s'éveille à la vie en ce début Avril.
C'est sur, c'est pas comme ça que je vais trouver du travail, mais vous me rétorquerez que de toutes les façons, c'est pas un samedi que je vais en trouver.

 

Bon, allons-y pour l'anecdote du jour, qui sera plutôt la remise à jour d'une vérité historique qui a fait beaucoup discuter dans les "chaumières cinématographiques":
Alice Guy fut-elle une réalisatrice avant même que le terme de réalisateur soit inventé?

 

C'est tout pour ce soir, car depuis le petit CyberCafé bordelais duquel je vous écris ce soir, les postes tournent avec "COUNTERSTRIKE" et je vais un peu tache avec Internet. 

 

A+
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La façade du Gaumont Bordeaux

Bonsoir à tous en direct d'un Cybercafé Bordelais d'où je vous poste ma pensée cinématographique de jour:

Le Gaumont Bordeaux a fermé il y a presque un an maintenant, pour laisser la place au nouveau multiplexe de la société à la marguerite à Talence.
Figurez-vous que la façade de ce batiment, classée "monument historique" et que TOUS les Bordelais pensaient être en pierre de taille du libournais s'avère en fait être en STUCK.

La belle preuve que le cinéma s'imisce partout, de l'écran de la salle à la façade des immeubles.

 

A+

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Le LOGO de la GAUMONT

Petite anecdote avant que l'on aille prendre le train:

Paris, le 16 Mars 1903:
On peut se demander quel aurait été le LOGO de la Gaumont, si l'épouse de Léon ne s'était pas appelée Marguerite.
Le 16 mars, en effet, Mr Gaumont dépose au tribunal de commerce le sigle de son entreprise...

 

A+

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3 anecdotes "cinéma" de 1961, 1925 et 1911

Je pars demain matin avec mes enfants pour 10 jours à Bordeaux, sans Oznej ( ma moitié, restée à Paris pour cause de "travail") et en train.
Le but du jeu étant de trouver un travail par là-bas, région d'où je viens, ce qui nous changerait de notre sempiternel " Métro-Boulot-Dodo". On verra bien, sachant que ça fait 1 an que je cherchote, que je trouve rien et que je vois beaucoup de portes se fermer devant nous.

Mais je ne vais pas vous embêter avec ça. Parlons plutôt de cinéma et voici donc que je m'en vais vous délivrer 2 ou 3 des centaines d'anecdotes que j'ai en réserve:

 

1) Londres - Octobre 1961 :
Casting géant à Londres. Albert Broccoli, propriétaire des droits des romans de Ian Fleming, cherche le futur James Bond.
Convaincu par les essais d'un jeune comédien (Sean Connery)qu'on a surtout vu au théatre jusque là, il envoie la bande au coproducteur américain, United Artist.
Réponse de U.A., un télégramme laconique:
"Voyez si vous ne pouvez pas trouver mieux..."
A mon avis, on a pas encore trouvé mieux, malgré Roger Moore, Timothy Dalton..., et même si Pierce Brosnan a son mot à dire!!!

 

2) Odessa - Septembre 1925:
Il est des séquences de cinéma comme de toute oeuvre, des destinées à long terme.
Lorsque Eisenstein filme, dégringolant les escaliers d'Odessa, la poussette d'enfant la plus célèbre de l'histoire du cinéma pour les cinéphiles, il ne se doute pas que de très nombreuses années plus tard, l'idée en sera reprise par Brian de Palma dans un de ses films: Les Incorruptibles.

 

3) Paris - 30 novembre 1911:
Vous le remarquerez, je parle et parlerai très souvent de la société Gaumont.

Près de la Place de Clichy, l'ancien hippodrome, qui était devenu pour un temps le temple des skaters (le patin est très à la mode...à l'époque), est transfomé en salle de cinéma.
Le Gaumont PALACE peut accueillir 3400 spectateurs et un orchestre.
C'est et ç'aura été la plus grande salle de cinéma au monde jusqu'à sa fermeture définitive le 31 janvier 1972.

A la place, un projet immobilier avec une galerie commerciale (Bouhouhouh) => Je ne l'aurai jamais connu...

 

A+
Niala01
PS: Je vais rechercher un cybercafé sur Bordeaux, j'essaierai de poster depuis là-bas, LOL.

L'inauguration d'une salle de cinéma

Gaumont Aquaboulevard : La première séance

ci-dessous un article édité sur le SilverSreen à l'occasion de l'inauguration du Gaumont Aquaboulevard à Paris, le 16 décembre 1998. C'est un peu ancien, mais ceux qui me connaissent auront compris pourquoi je l'ai copié là:

"Mercredi 16 Décembre. Cette semaine, c'est Gaumont qui crée l'événement en ouvrant son multiplexe de l'Aquaboulevard.

Comme prévu, tous les films étrangers sont présentés en version française. Ca limite pas mal le choix, et ça décourage un peu. Heureusement, j'aime bien Patrick Schulmann, et je voulais voir "Comme une bête". Parmi les deux autres films français proposés, "Le dîner de cons", dont la copie vient d'achever une longue carrière au Gaumont Parnasse. Les deux grands dessins animés de Noël, Mulan et le prince d'Egypte monopolisent les deux plus grandes salles.

La séance du matin est à 27 francs (soit un de moins que le Gaumont Parnasse, et deux de moins qu'UGC; à quand une nouvelle guerre de prix pour cette séance?). Le plein tarif est à 49 francs.

J'arrive sur les lieux vers 10h20, pour la séance de 11h. A noter que tout au long de la journée, toutes les salles ont les mêmes horaires, mais ce système risque montrer ses limites en cas de très forte affluence.

On n'en est pas là. On est quelques uns à attendre devant les rideaux baissés des caisses. Quelques ouvriers, perchés sur des escabeaux, travaillent dans le faux-plafond du hall. Des vigiles sont présents, ainsi que dans toute la galerie; visiblement, il n'est pas prévu que ce lieu devienne un nouveau lieu de rendez-vous pour les bandes.

La caisse s'ouvre; on est accueilli avec un sourire (qui semble de mise parmi le personnel). Mon ticket (n°00000001!) en main, je descends le grand escalier vers le hall principal, prends le couloir de gauche, et me retrouve dans la salle 5.

Quelques rappels et explications sur les salles. La plus grande salle (500 places, écran de 20 mètres avec un plafond de lumières) est la une, puis c'est la sept (300 places, écran de 14 mètres environ, show laser avant la séance). Puis viennent les salles moyennes, aux numéros impairs (n° 3, 5, 9, 11 et 15; 200 places, écrans de 13 mètres environ), et les salles plus petites, aux numéros pairs (n°2, 4, 6, 8, 12 et 14; 95 à 160 fauteuils, écrans de dix mètres environ). Les petites salles sont plus spacieuses et les écrans plus grands que les petites salles du Gaumont Parnasse. Toutes les salles sont équipées en Dolby SRD. Il n'y a pas de salle treize. La grande salle a le label "Grand Ecran", réservé aux salles Gaumont offrant des écrans vraiment géants (20 mètres de base mini). Les autres sont des Gaumontrama, mais il est question de ne plus utiliser ce terme dans les multiplexes, car les critères de qualité sont y souvent plus exigeants que dans les simples complexes.

Comme dans les autres salles, la porte d'accès se trouve près de l'écran. La salle paraît aussi large que longue, les sièges sont bien sûr disposés en gradins, le premier rang se trouvant realtivement loin de l'écran. Les fauteuils sont rouges, les murs noirs avec des teintes bleues à thème aquatique. L'ambiance est calme dans la salle; je me sens un peu isolé; peut-être parce que je suis le seul client... Est-ce le fait d'un démarrage lent du film ou du complexe, on ne le sait pas encore. Les bruits de travaux que l'on peut entendre stopperont avant le début de la séance.

Après quelques bandes-annonces et l'habituel quart d'heure de pubs (la salle est trop sombre à ce moment, ce qui interdit toute lecture), les lumières s'éteignent totalement... presque. Les boîtiers qui indiquent la sortie sont très proches de l'écran, et l'éclairent généreusement; heureusement, on ne remarque pas de problème pendant la projection. Le film commence sans trailer SRD; pourtant, quelques effets (trop rares) prouvent que le son est numérique.

Pendant la séance, les portes s'ouvrent plusieurs fois, et laissent apparaître du personnel d'accueil ou de sécurité. Encore une fois, les portes se trouvent au pied de l'écran, cela perturbe un peu l'attention (en espérant que cela n'arrive plus quand le cinéma sera rôdé). A une demi-heure de la fin du film, un bruit de perceuse; pas trop prolongé, mais plusieurs fois quand même. Et quelques coups de marteau, aussi. A régler d'urgence...

A la fin du film, on n'est pas contraint de prendre les sorties de secours. Le contrôleur, avec le sourire évidemment, demande si la séance s'est bien déroulée, et dit au revoir. Vraiment sympa, l'accueil. Dans le hall, quelques dizaines de personnes patientent avant leur séance.

Avec sa programmation exclusivement version française, ce complexe fait malheureusement l'impasse sur une clientèle cinéphile. Le public visé est majoritairement originaire des communes limitrophes des Hauts-de-Seine, ainsi que d'une partie du quinzième arrondissement. Le Gaumont Alésia et le Gaumont Convention risquent de souffrir. Et les directeurs du Grand-Pavois et du Saint-Lambert sont sans doute rassurés, ils gardent le monopole de la version originale sur le quartier, mais leurs séances pour enfants risquent de perdre une partie de leur jeune public (surtout en ce moment avec deux grands dessins animés américains à l'affiche).

Dommage quand même pour la version originale!"

A ce jour, l'offre en VO est un tout petit peu plus importante, mais quand on part de zéro...LOL
A+
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L'inauguration d'une salle de cinéma

Les affiches de HEBUS

Bientôt 4h00 du mat'.

J'ai déniché un nouveau lien pour ceux qui sont intéressés par une foultitude de fonds d'écran à télécharger gratuitements aux couleurs de vos films préférés:

Hebus - Cinema
 

N'hésitez pas à répondre à mes notes, posez moi vos questions sur vos recherches, je m'efforcerai de vous répondre rapidement avec les réponses que vous attendrez.

A+ tard,
Niala01

Les affiches de HEBUS