Transylvania- Par Alain et Bernard

Les photos ont été prises au Gaumont Wilson de Toulouse par Bernard Lacaze lors de l'avant-première du film (Transylvania) qui a eu lieu le mercredi 13 septembre 2006. Tony Gatlif , le réalisateur (qui a déja commis Gadjo Dilo et Exils) a répondu aux nombreuses questions du public à l'issue de la projection du film.

Et il était enchanté de rencontrer son public dans une salle toute acquise à sa cause.

Merci ...
Alain

Les photos ont été prises au Gaumont Wilson de Toulouse par Bernard Lacaze lors de l'avant-première du film (Transylvania) qui a eu lieu le mercredi 13 septembre 2006. Tony Gatlif , le réalisateur (qui a déja commis Gadjo Dilo et Exils) a répondu aux nombreuses questions du public à l'issue de la projection du film.

Et il était enchanté de rencontrer son public dans une salle toute acquise à sa cause.

Merci ...
Alain

La maison du bonheur - Par Alain et Bernard

Les photos ont été prises au Gaumont Wilson de Toulouse par Bernard Lacaze lors de l'avant-première du film (La maison du bonheur) qui a eu lieu mardi dernier (le 9 mai 2006). Dany Boon, le comédien-réalisateur, visiblement un peu fatigué, a assuré de sa présence le débat à l'issue de la projection du film.

"Et je suis ben content d'être là !"

Il reste encore quelques dates si vous désirez voir Dany Boon en Avant-Première dans votre salle favorite :
Le 12 mai : TOULON (Pathé Liberté, Pathé Grand Ciel) à 13H30 et 14H30, et NICE (Massena) à 20H.
Le 15 mai : TOURS (Méga CGR 2 Lions, Méga CGR Centre) à 19H30.
Le 16 mai : ANGERS (Gaumont Multiplexe) à 19H30 et  SAINT HERBLAIN (Pathé Atlantis) à 19H45.
Le 17 mai : TREGUEUX (Cineland) à 13H45, VANNES (Cinéville) à 18H et LORIENT (Cinéville) à 20H.

Enfin, en allant visiter le site officiel, vous trouverez Le Dany Blog . C'est pas nouveau, de plus en plus de sites de promotion de film en comporte; Mais celui est très bien réalisé. Et il est tenu à jour, c'est marrant et on y est accueilli par une courte vidéo de Dany Boon himself. A découvrir...

Les photos ont été prises au Gaumont Wilson de Toulouse par Bernard Lacaze lors de l'avant-première du film (La maison du bonheur) qui a eu lieu mardi dernier (le 9 mai 2006). Dany Boon, le comédien-réalisateur, visiblement un peu fatigué, a assuré de sa présence le débat à l'issue de la projection du film.

"Et je suis ben content d'être là !"

Il reste encore quelques dates si vous désirez voir Dany Boon en Avant-Première dans votre salle favorite :
Le 12 mai : TOULON (Pathé Liberté, Pathé Grand Ciel) à 13H30 et 14H30, et NICE (Massena) à 20H.
Le 15 mai : TOURS (Méga CGR 2 Lions, Méga CGR Centre) à 19H30.
Le 16 mai : ANGERS (Gaumont Multiplexe) à 19H30 et  SAINT HERBLAIN (Pathé Atlantis) à 19H45.
Le 17 mai : TREGUEUX (Cineland) à 13H45, VANNES (Cinéville) à 18H et LORIENT (Cinéville) à 20H.

Enfin, en allant visiter le site officiel, vous trouverez Le Dany Blog . C'est pas nouveau, de plus en plus de sites de promotion de film en comporte; Mais celui est très bien réalisé. Et il est tenu à jour, c'est marrant et on y est accueilli par une courte vidéo de Dany Boon himself. A découvrir...

Les photos de Bernard

Je manque toujours à mes devoirs lorsqu'il s'agit de maintenir ce blog à jour. C'est pourtant pas l'envie qui me manque.

Mais si je considère que ça n'est pas un problème pour moi..., ce n'est pas la même chose lorsqu' il y a des dommages collatéraux. En l'occurence, Bernard m'envoie depuis plusieurs semaines des photos des talents qui se déplacent à Toulouse et je zappe systématiquement la mise à jour.

Shame on me et session de rattrapage des photos prises récemment par Bernard Lacaze lors de la venue des équipes aux avants-première du Gaumont Wilson :

Le temps des porte-plumes (mardi 14 février 2006) : En présence de Daniel Duval (réalisateur)

Visiblement, le réalisateur a passé un excellent moment...

Les Aiguilles rouges (mercredi 19 avril) : En présence de Jean-François DAVY (réalisateur), Jules SITRUK, Damien JOUILLEROT, Jonhatan DEMURGER et Pierre DERENNE (le film sortira dans les salles le 10 mai)

L'arrivée de l'équipe au moment du début du générique.

La séance de dédicace à la fin de la rencontre avec l'équipe a eu beaucoup de succès !

Comme t'y es belle (mardi 25 avril): En présence de Lisa Azuelos (réalisatrice), Aure Atika, Valérie Benguigui et Géraldine Nakache (le film sortira dans les salles le 10 mai)

Valérie Benguigui.

Lisa Azuelos.

Aure Atika.

Géraldine Nakache

Voila rattrapé mon retard vis à vis des photos sur le blog. Merci Bernard !

Alain

Je manque toujours à mes devoirs lorsqu'il s'agit de maintenir ce blog à jour. C'est pourtant pas l'envie qui me manque.

Mais si je considère que ça n'est pas un problème pour moi..., ce n'est pas la même chose lorsqu' il y a des dommages collatéraux. En l'occurence, Bernard m'envoie depuis plusieurs semaines des photos des talents qui se déplacent à Toulouse et je zappe systématiquement la mise à jour.

Shame on me et session de rattrapage des photos prises récemment par Bernard Lacaze lors de la venue des équipes aux avants-première du Gaumont Wilson :

Le temps des porte-plumes (mardi 14 février 2006) : En présence de Daniel Duval (réalisateur)

Visiblement, le réalisateur a passé un excellent moment...

Les Aiguilles rouges (mercredi 19 avril) : En présence de Jean-François DAVY (réalisateur), Jules SITRUK, Damien JOUILLEROT, Jonhatan DEMURGER et Pierre DERENNE (le film sortira dans les salles le 10 mai)

L'arrivée de l'équipe au moment du début du générique.

La séance de dédicace à la fin de la rencontre avec l'équipe a eu beaucoup de succès !

Comme t'y es belle (mardi 25 avril): En présence de Lisa Azuelos (réalisatrice), Aure Atika, Valérie Benguigui et Géraldine Nakache (le film sortira dans les salles le 10 mai)

Valérie Benguigui.

Lisa Azuelos.

Aure Atika.

Géraldine Nakache

Voila rattrapé mon retard vis à vis des photos sur le blog. Merci Bernard !

Alain

Luc Besson à Toulouse - Par Alain (photos de Bernard Lacaze)

Il y a des moments, comme ça, où l'on sait pourquoi on travaille dans le cinéma. En tout cas, même si j'ai toujours su (ou presque) que je voulais travailler dans une salle, la rencontre avec certaines personnes me confortent dans mes choix et dans mes rêves (je ne dirais pas la même chose d'une certaine personne, mais elle s'en fout !).

Un de ces moments-là est arrivé jeudi dernier. Raf va certainement m'envier un minimum et ViKtor me houspiller à la lecture de cet article, mais un pur instant de bonheur va être écrit maintenant.

C'est donc jeudi soir dernier que Luc Besson est venu au Gaumont Wilson pour présenter son Angel-A avec Rie Rasmussen (mais sans Jamel) devant une salle copieusement garnie de 600 personnes.

Moi, au 3ème rang (j'étais pas de service,...), avec madame, pour la première vision du film, impatient que j'étais de le voir depuis sa sortie, mais résistant à la tentation dans l'attente de la venue du réalisateur.

Entrée dans la salle de Besson avant le démarrage du film pour annoncer une bonne nouvelle : il ne ferait pas la présentation du film, mais pour se faire pardonner de l'absence (pour raisons familiales ?) de Jamel, il se ferait un plaisir de faire le débat d'après-projection.
Après projection, générique tronqué et re-entrée de Besson qui a droit à une standing ovation du tonnerre qui semble l'intimider quelques secondes. Il est très rare d'assister à ça à l'issue d'une avant-première même si généralement, les applaudissements sont nourris.
Prise de parole du réalisateur pour saluer le public pendant que Rie Rasmussen s'approche et début du jeu des remerciements et félicitations plutôt que des questions-réponses : Et merci pour le film, merci pour votre travail,... Puis 2 interventions notables.
L'une concernant le travail de producteur d'EuropaCorp ayant permis la faisabilité du film 3 Enterrements et encourageant Besson à continuer dans cette voie (de mauvaises langues diront que le film de Tommy Lee Jones est l'exception qui confirme la règle) et l'autre au sujet d'une rencontre entre un étudiant et Luc Besson, il y a quelques années, ayant trouvée sa conclusion dans un cursus cinématographique pour l'étudiant : L'étudiant était là, prenant la parole et remerciant Besson, plusieurs années après, de cette rencontre...Applaudissements dans la salle.

Enfin, après quelques autres questions tournant sur le film (petit cours magistral en passant sur la préparation d'un film, raison du choix de Jamel et Rie au casting), la rencontre prend fin. Alors que c'est la ruée des spectateurs vers Besson pour la sempiternelle séance de dédicaces, Luc et Rie se placent juste dans l'embrasure d'une sortie de secours et répondent aux sollicitations des spectateurs pendant encore une dizaine de minutes.

Le meilleur (pour moi) est à venir. En sortant de la salle, on se décide à les retrouver au resto. Je veux le voir et le saluer dans de meilleures conditions; On arrive au resto après avoir appelé pour prévenir qui de droit (ah ben oui, je fais ça dans les normes, pas envie de me faire jeter par les 2 monstres qui le protègent), de saluer ceux que je connais et nous sommes présentés au réalisateur. Et moi, de le saluer, de balbutier une banalité quelconque et enfin d'enchainer (ceux qui me connaissent savent que les rencontres de ce genre sont fréquentes dans mon métier, mais j'étais intimidé, point !  ;-)).
De saluer Rie, qui s'est levée pour nous (c'est une très souriante jeune femme) et d'entendre ma femme commencer à parler "enfants" avec Luc Besson. Le temps de se faire inviter à nous asseoir par Besson himself (invitation que nous déclinons) et nous voilà repartis au bout d'un quart d'heure (c'est fou ce que l'on peut échanger en si peu de temps, même si je n'ai pas eu le temps de lui dire tout ce que j'avais à lui dire - mon blog et son courrier des lecteurs, sa nouvelle facette d'exploitant, sa cité du cinéma, ses accords avec Tarak Ben Ammar, son coté Mogul en devenir,...).
Repartis, moi avec des étoiles pleins les yeux (ne suis-je pas l'un de ses plus grands fans, le suivant de très près depuis Le Grand Bleu, l'un de mes fils s'appelle d'ailleurs Enzo - ça ne s'invente pas) et ma femme avec des dizaines d'anecdotes me faisant remarquer que je ne lui avait même pas demandé un piti autographe !!!

Un comble !!! Mais...
... Un petit coup de fil et l'affaire était cependant dans le sac : j'ai récupéré depuis un charmant dessin signé de Luc Besson :

Merci pour mon fils (tout fier d'avoir un dessin du "grand Bleu" mis sous cadre dans le salon) et ... Merci pour tout Luc.

Il y a des moments, comme ça, où l'on sait pourquoi on travaille dans le cinéma. En tout cas, même si j'ai toujours su (ou presque) que je voulais travailler dans une salle, la rencontre avec certaines personnes me confortent dans mes choix et dans mes rêves (je ne dirais pas la même chose d'une certaine personne, mais elle s'en fout !).

Un de ces moments-là est arrivé jeudi dernier. Raf va certainement m'envier un minimum et ViKtor me houspiller à la lecture de cet article, mais un pur instant de bonheur va être écrit maintenant.

C'est donc jeudi soir dernier que Luc Besson est venu au Gaumont Wilson pour présenter son Angel-A avec Rie Rasmussen (mais sans Jamel) devant une salle copieusement garnie de 600 personnes.

Moi, au 3ème rang (j'étais pas de service,...), avec madame, pour la première vision du film, impatient que j'étais de le voir depuis sa sortie, mais résistant à la tentation dans l'attente de la venue du réalisateur.

Entrée dans la salle de Besson avant le démarrage du film pour annoncer une bonne nouvelle : il ne ferait pas la présentation du film, mais pour se faire pardonner de l'absence (pour raisons familiales ?) de Jamel, il se ferait un plaisir de faire le débat d'après-projection.
Après projection, générique tronqué et re-entrée de Besson qui a droit à une standing ovation du tonnerre qui semble l'intimider quelques secondes. Il est très rare d'assister à ça à l'issue d'une avant-première même si généralement, les applaudissements sont nourris.
Prise de parole du réalisateur pour saluer le public pendant que Rie Rasmussen s'approche et début du jeu des remerciements et félicitations plutôt que des questions-réponses : Et merci pour le film, merci pour votre travail,... Puis 2 interventions notables.
L'une concernant le travail de producteur d'EuropaCorp ayant permis la faisabilité du film 3 Enterrements et encourageant Besson à continuer dans cette voie (de mauvaises langues diront que le film de Tommy Lee Jones est l'exception qui confirme la règle) et l'autre au sujet d'une rencontre entre un étudiant et Luc Besson, il y a quelques années, ayant trouvée sa conclusion dans un cursus cinématographique pour l'étudiant : L'étudiant était là, prenant la parole et remerciant Besson, plusieurs années après, de cette rencontre...Applaudissements dans la salle.

Enfin, après quelques autres questions tournant sur le film (petit cours magistral en passant sur la préparation d'un film, raison du choix de Jamel et Rie au casting), la rencontre prend fin. Alors que c'est la ruée des spectateurs vers Besson pour la sempiternelle séance de dédicaces, Luc et Rie se placent juste dans l'embrasure d'une sortie de secours et répondent aux sollicitations des spectateurs pendant encore une dizaine de minutes.

Le meilleur (pour moi) est à venir. En sortant de la salle, on se décide à les retrouver au resto. Je veux le voir et le saluer dans de meilleures conditions; On arrive au resto après avoir appelé pour prévenir qui de droit (ah ben oui, je fais ça dans les normes, pas envie de me faire jeter par les 2 monstres qui le protègent), de saluer ceux que je connais et nous sommes présentés au réalisateur. Et moi, de le saluer, de balbutier une banalité quelconque et enfin d'enchainer (ceux qui me connaissent savent que les rencontres de ce genre sont fréquentes dans mon métier, mais j'étais intimidé, point !  ;-)).
De saluer Rie, qui s'est levée pour nous (c'est une très souriante jeune femme) et d'entendre ma femme commencer à parler "enfants" avec Luc Besson. Le temps de se faire inviter à nous asseoir par Besson himself (invitation que nous déclinons) et nous voilà repartis au bout d'un quart d'heure (c'est fou ce que l'on peut échanger en si peu de temps, même si je n'ai pas eu le temps de lui dire tout ce que j'avais à lui dire - mon blog et son courrier des lecteurs, sa nouvelle facette d'exploitant, sa cité du cinéma, ses accords avec Tarak Ben Ammar, son coté Mogul en devenir,...).
Repartis, moi avec des étoiles pleins les yeux (ne suis-je pas l'un de ses plus grands fans, le suivant de très près depuis Le Grand Bleu, l'un de mes fils s'appelle d'ailleurs Enzo - ça ne s'invente pas) et ma femme avec des dizaines d'anecdotes me faisant remarquer que je ne lui avait même pas demandé un piti autographe !!!

Un comble !!! Mais...
... Un petit coup de fil et l'affaire était cependant dans le sac : j'ai récupéré depuis un charmant dessin signé de Luc Besson :

Merci pour mon fils (tout fier d'avoir un dessin du "grand Bleu" mis sous cadre dans le salon) et ... Merci pour tout Luc.

L'anniversaire - Par Bernard

Antoine Dulery et Diane Kurys

Les photos ont été prises au cours de l'avant-première du film, qui a eu lieu au Gaumont Wilson.

Florence Thomassin, Fabio Sartor et Jean-Hughes Anglade

Palais Royal - Par Bernard

Valérie Lemercier et Lambert Wilson face au public
Valérie Lemercier entourée par ses fans lors de la séance de dédicaces à l'issue du débat
Valérie Lemercier à la fin de l'AVP

Les photos ont été prises au Gaumont Wilson lors de l'AVP du film.

Des photos exclusives sur le blog

Suite à la réception d'un mail (point 5), le blog est en passe d'obtenir son photographe officiel. Comme je n'ai pas et je n'ai jamais eu le temps de prendre des photos pendant les avants-première, j'ai une personne idéale pour faire ça, un photographe amateur bien équipé et qui suit quasiment toutes les AVP depuis mi-2003 : Bernard Lacaze.

Donc, à partir de maintenant, on va essayer de s'organiser pour vous fournir des photos exclusives !

Au début...

Via Mail, J. me fait parvenir ce petit historique que je me fais un plaisir de vous faire partager :

A l'origine était le cinéma LAFAYETTE qui devenait GAUMONT PALACE peu après
1918. La foule se pressait nombreuse à l'entrée de cette superbe salle,
forte de ses 1638 places assises à la visibilité parfaite et équipée en son
dès 1930.

De 1942 à 1944, Toulouse était occupée par les troupes allemandes et le
GAUMONT PALACE réquisitionné recevait l'enseigne et la fonction de "SOLDATEN
KINO". Ce fut paradoxalement le seul cinéma de la ville à échapper aux
attentats.

En 1953, Le GAUMONT PALACE était doté d'un écran panoramique destiné à
projeter le format 2,55 et en 1963, première restructuration d'une longue
série, la scène (coulisse, cintres, portique) était détruite pour permettre
l'installation d'un écran 70m/m de 13 m de base sur 6,5 de hauteur, son
stéréophonique pour les 6 pistes.

En 1973, la salle était démolie et remplacée par 3 autres.
- la première comportait 600 places à l'orchestre plus 200 places aux
corbeilles
- La seconde pouvait accueillir 600 spectateurs sur l'emplacement de
l'ancien balcon.
- Une troisième proposait 140 places au dessus du hall.

Le public exigeant des complexes aux écrans multiples, 1978 voyait la
création de 2 salles supplémentaires et en 1980 la salle 1 témoignait de la
révolution technologique en recevant le son DOLBY.

Nouvelle étape en 1985 avec la transformation de la salle 1 en 3 autres, 2
en contrebas et une au dessus.

En 1988, devant le succès croissant des grands écrans, GAUMONT décide
d'offrir aux toulousains le GAUMONTRAMA, une salle prestigieuse aux
caractéristiques exceptionnelles : 16 m de base, pour un écran courbe de 120
m², 25 enceintes avec une puissance de plus de 8 KW et 550 sièges.

A l'heure où les films de cinéma sont de plus en plus diffusés à la
télévision, le cinéma doit marquer sa différence. GAUMONT décide donc de
valoriser la salle de cinéma, en offrant aux spectateurs des écrans aussi
grands que possible.

Merci à J.
Niala01

Petit Historique

Je reprends ici un article écrit plusieurs mois auparavant sur un de mes autres blogs:

Le GaumontWilson
Cinéma situé en plein centre ville de Toulouse (desservi par métro: ligne A-stations: Jean Jaurès ou Capitole et Bus: lignes1-10-15-16-22-24-38. Parkings: Saint-Georges,Victor Hugo, Jaurès) :

1) Le Gaumont Wilson, anciennement Gaumont Palace, puis tout simplement Gaumont, était avant sa première transformation (je ne sais pas en quelle année, j'essaierai de me renseigner) une salle immense, où cinquante mètres séparaient le projecteur de l'écran.
La salle fut coupée en cinq : La salle 2 était une grande salle en gradins d'environ cinq cents places tout en haut, avec un écran de dix mètres. La salle 1 était presque aussi grande, mais en légère contre-pente, avec un écran de dix mètres, trop haut. La salle 4 offrait 250 places en gradins, mais la cabine de projection était située sur le côté, et l'écran était légèrement tourné... La salle 3 était assez petite, la salle 5 carrément minuscule. Comme la décennie l'impose, le beige et le vert pomme sont à l'honneur pour la décoration.

2) Mais la mode des mini-salles n'est pas encore terminée, et en 1985, la salle 1 est cassée en quatre salles plutôt quelconques. Puis la mode des grandes salles revient, et en octobre 1988, la salle 2 troque son écran platpour un bel écran panoramique de seize mètres de base, inauguré avec "L'Étudiante" de Claude Pinoteau, et devient un "Gaumontrama". Petit défaut de jeunesse: Denis, de SilverScreens, en assistant à une des premières séances du nouveau Gaumontrama, a remarqué que l'on pouvait apercevoir quelques rayons de soleil en levant la tête... Gaumont semble ensuite prendre conscience que le complexe est trop biscornu, et tout le volume entourant la grande salle est totalement transformé.

3) Ensuite, le Gaumont Wilson possède huit écrans de cinq à seize mètres de base. L'ancienne salle 2 est devenue salle 1, c'est toujours l'une des plus belles de la ville, et c'est la seule qui ait -jusque là- survécu aux nombreux travaux de transformation. Cependant, à ce moment-là, Gaumont a confimé sa décision de récupérer l'espace libéré par un ancien lycée professionnel voisin du cinéma, pour créer un "multiplexe de centre-ville". Et a fermé les Nouveautés par la même occasion. Le postulat de base étant qu'un spectateur du Gaumont Labège sait qu'il aura un écran réellement grand, même dans la plus petite des salles, il fallait que ce soit la même chose en centre-ville. Et un recentrage sur la V.O. paraîssait indispensable, car c'etait le seul moyen de se différencier de la périphérie.

4) Réouvert en mai 2003, le Wilson offre dorénavant tous les avantages technologiques et de confort d'un cinéma de dernière génération. Le cinéma occupe désormais 8000m2 de superficie sur trois niveaux.
Fort de ses 13 nouveaux écrans et du son numérique, il propose une programmation variée en VF (65%) et en VO (35%), avec un accès au world cinéma (Myazaki, Almodovar,...), aux cinématographies de qualité et aux films Grand-Public. Au total le cinéma offre près de 400 séances par semaine.
Le Gaumont Wilson s'étant doté de 5 salles supplémentaires, il peut accueillir plus de 3000 spectateurs. La plus grande salle, toute en volume, de plus de 600 fauteuils-clubs rouges, possède un écran de 20 mètres de large. L'ancienne salle 1 rechange de nom pour redevenir la salle 2.

Le multiplexe accueille de nombreuses AVP, avec ou sans les équipes des films, mais il peut arriver aussi de recevoir d'autres manifestations (cf. concert de David Bowie). Toulouse est une ville de province très bien équipée et très cinéphile. Pour preuve, dotée d'une cinémathèque reconnue, cette ville fait partie de celles choisies par Utopia pour s'y développer et de celles qui bénéficient d'un très bon taux d'occupation par fauteuil.
De facto, si l'on rajoute les salles dont je parle aussi ici, toutes les cinématographies sont représentées. Notre arrivée n'a donc pas fondamentalement changé la donne et on a crée autant de spectateurs (sans la carte PASS) que l'on en a pris à UGC (avec sa carte UGC-Illimité) et sans quasiment en prendre aux autres...)

Niala01

 

Petit article sur le Wilson...

...paru dans la Dépêche du 8 mai 2004 :
Tous les cinémas de l'agglomération toulousaine ont été visités par un journaliste différent, anonymement.
Ce test n'a pas valeur scientifique mais donne plutöt une photographie, à un moment donné, d'un lieu donné. Je ne met pas les avis concernant les autres cinémas, ce serait de la concurence déloyale, LOL :

"Gaumont-Wilson : Spectaculaire

Film vu : Van Helsing

Quand : Jeudi 6 mai 2004

Accueil : Jeune et souriant

Confort : Excellent

Annexes : Comptoirs confiserie

En conclusion : Le dernier-nés des cinémas toulousains (il fêtera bientöt son premier anniversaire) se déguste comme un bonbon coloré. Les ados adorent le décor, les adultes trouvent cela un peu tape-à-l'oeil. Tous sont d'accord pour apprécier le parfait confort (salles en gradin, idéales pour les enfants) et la qualité de projection dans des salles aux proportions spectaculaires."