Pfff, j'avais écris la technique du samedi, et je l'ai poster, d'habitude je vérifie, mais pour une fois, POUR UNE FOIS, non, je n'ai pas vérifié, et forcément, elle s'est pas enregistrée, c'est la vie...
Me revoilà donc en train de réécrire ce post, je l'avais raconté d'une manière marrante et tout et tout, mais là j'ai la flemme de le refaire, donc désolé, vous allez vous farcir la version banale.
La pellicule:
Au cinéma, on filme en 35mm, mais varier les formats peut servir à exprimer, à raconter de nouvelles choses (voir sens de l'image ), par exemple un format vidéo fait "amateur", il rapproche le spectateur de la réalité, et si le film est un film de peur, vous obtenez Blair Witch. Autre exemple, The game, pour narrer l'enfance du héros, c'est en 16mm que sont filmés les flash-back. Dans Desperados 2, Depp tue le cuisinier sous l'oeil attentif d'une caméra portée en format vidéo pour exprimer le caractère impulsif et non réfléchie de l'acte de Johnny.
L'angle extrême et l'angle dramatique:
Un angle de caméra intéressant est un angle qui apporte un sens nouveau à l'image, par exemple une contre plongée sur un personnage le rend plus fort (au hasard Terminator 2) et une plongée le rend faible, impuissant parfois aussi. Mais si cette angle est poussé à l'extrême, on l'appelle tout naturellement angle extrême (defois je mérite des claques à cause de la redondance de mes phrases, d'ailleurs tiens le prochain post que je ferais il sera ultra redondant, en espérant que cela me serve de cure de désintoxication...oui oui on reprends), le meilleur exemple que je puisses tenir dans ma petite paume de main d'alien, c'est Apparences, de Zemeckis, lorsque la caméra est placée carrément sous le plancher, filmant à travers lui comme si il n'était qu'une vitre. Un trousseau de clef est posé sur la caméra, et Michelle Pfeiffer les regarde, sachant parfaitement ce qu'elles représentent. En faisant cet angle, Zemeckis mystifie les clefs, leur donne une dimension bien plus grande qu'un simple objet.
a++
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